Dans un nouveau succès diplomatique pour le Maroc, le Ghana a annoncé ce [jour] la suspension de ses relations avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Cette décision marque un tournant significatif dans la gestion de la question du Sahara occidental.
Dans un communiqué officiel, le ministère ghanéen des Affaires étrangères a notifié au Maroc, à l’Union africaine et aux Nations Unies sa décision de rompre ses relations avec la RASD. Cette annonce intervient quelques heures avant l’investiture du nouveau président ghanéen, John Dramani Mahama.
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En prenant cette décision, le Ghana s’aligne sur la position de nombreux pays qui ont déjà rompu leurs relations avec la RASD, reconnaissant ainsi la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental. Cette décision est un coup dur pour les partisans de l’indépendance de cette région.
Une tendance qui se confirme
La décision du Ghana s’inscrit dans un mouvement plus large de reconnaissance internationale de la souveraineté marocaine sur le Sahara. Depuis plusieurs années, de nombreux pays africains et internationaux ont suivi le même chemin, isolant de plus en plus les partisans de l’indépendance de la RASD.
Les enjeux de cette décision
Cette nouvelle donne diplomatique renforce la position du Maroc sur la scène internationale et fragilise les positions du Polisario. Elle témoigne également de l’attractivité du modèle marocain de développement et de la stabilité politique dont jouit le Royaume.